Année 04/05
Poésie, homophones, 6ème2
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Que de contes !
Je te raconte mon long conte.
Ce n’est point sur lui que je compte.
Je compte uniquement sur moi
Pour en faire un conte plein de joie.
Après avoir fait tous mes comptes,
Devant ma mère je raconte
Que je veux qu’ils m’offrent un conte
Qui parle d’un riche et beau comte
Qui compte beaucoup à mes yeux.
Christopher
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Le bonheur
Avoir de l’espoir ou vivre sans
Aimer à cent pour cent courir comme un enfant pour rattraper les nuages
blancs
C’est ça le bonheur
Si tu n’aimes pas les prises de sang
Que tu pars les pieds en avant
Que tu préfères te soigner sans
Et que tu guéris à cent pour cent
Même si tu es lent
Ça c’est le bonheur
Célia
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Poème en [V£R]
C’est l’histoire d’un ver
Qui aperçut un verre,
Ce verre était vert,
Et était en verre.
Ce ver de terre
Cassa le verre
Et se coupa avec le verre.
Quel enfer !
Margaux
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Poème en [ £R ] et [ V£R ]
C’était dans une autre ère
Ni l’âge de pierre
Ni l’âge de fer
Que naissait un ver
Qui calculait les aires
Quand il allait à Vert.
Il prit un bol d’air et rencontra un verre
Ses calculs furent en l’air.
Celui-ci gardait de l’air
Dans son manteau de verre.
Alice
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Ton gentil tonton
A mangé du thon.
Il a dit quelque chose sur un ton banal
Et il a pêché ce thon dans ton beau canal.
ALEX
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QUESTION SANS REPONSE
Pourquoi avons-nous du sang ?
On ne peut pas vivre sans !
On a cent litres de sang ?
C’est beaucoup de sang !
Et combien avons-nous de sens ?
Je pense qu’on a cinq sens.
Maminou, qu’est ce que je sens ?
Lui dit-il en s’en allant
C’est le parfum de ta maman
Gaultier
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La reine
Tenait les rênes
Des rennes
Qui tiraient son traîneau
Dans lequel il y avait un seau
Contenant le sceau
Du roi, ce sot.
Un des rennes fit un saut
Et fit tomber le traîneau
Avec la reine,
Le seau,
Les rênes,
Et le sceau.
Claire
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J’allais vers la table de verre
Où il y avait des verres en verre.
Puis, dans les verres
Il y avait des yeux en verre.
Sur les yeux en verres
Il y avait un ver de couleur verte
NICOLAS
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Tout compte fait
Il y a le conte fantastique
Et il y a le comte du manoir.
Il y a le compte de la banque
Je le recompte plusieurs fois le soir.
Je compte aussi beaucoup sur ma maman
Pour des petits acomptes de bisous.
Et il y a toujours ce garnement
Pour tout ce qu’il raconte de très fou.
Margot L
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Dans la ville il y a des rats
Oh, le raz de marée se fait rare
Ces temps là, les cheveux sont ras
Bonjour à toi dieu RÂ
Petit rat qui danse à l’opéra
Et moi, est ce que j’aime les rats ?
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